Belle semaine au Mandala de Toulouse

Malgré les vacances, le Mandala de Toulouse s'offre une nouvelle semaine riche en concert. Au programme, on retrouvera Yol Hikayesi, Kalakuta Selectors ou encore Partido Bom.

Mercredi 31 octobre à 21h30: Yol Hikayesi 

Des chants et musiques de Turquie, du jazz, des rythmes orientaux ou tziganes d’Istanbul. Dans ce quartet, chacun des musiciens amène sa liberté au bord de l’émotion. L’âme s’y exprime pudiquement et touche la part profonde de notre être. Nous sommes conviés à un voyage intérieur. L’écoute y est essentielle.

Les inflexions mélodiques de la langue turque chantée nous emmènent dans un espace-temps commun : celui des souvenirs, de la nostalgie et de l’amour. S’y mêlent la mélodie du saz et les ornementations du violon, l’occident de la contrebasse et l’orient des percussions, ainsi que les influences nombreuses des Balkans, d’Anatolie et de Mésopotamie. 

Mélange subtil ciselé tout en douceur. A découvrir pour le transport et l’émerveillement !!  

 

Vendredi 2 novembre à 19h : Kalakuta Selectors 

 Le collectif explosif des Kalakuta Selectors, un mois après son premier festival à la Dynamo, apportera son groove mondial, avec un set joyeusement éclectique. Reggae, afrobeat, funk, hip-hop, cumbia… ces passionnés de musique ne connaissent pas les frontières et partagent leurs découvertes musicales avec un sens aiguisé du rythme. Une véritable fête pour ouvrir le mois.

La soirée sera également l’occasion de découvrir les dessins du toulousain Nicolas Jaoul, artiste iconoclaste amateur de jeux de mots, via une exposition de près de 80 oeuvres et une scénographie au diapason : décalée et humoristique.

 

 

Samedi 03 novembre à 21H30: Partido Bom 

En puisant dans le samba de raíz le plus pur, Partido Bom rêve d’en faireun langage universel…

Les volutes mélodieuses et la poésie populaire de ce répertoire leur devenant toujours plus familières, ces musiciens toulousains y reconnaissent peu à peu la même authenticité et la même force que celles d’un Brassens ou d’un Rimbaud.

C’est donc aussi dans un terreau de métissage que Partido Bom cultive sa créativité. Plus fidèle que jamais à l’esprit d’un langage purement carioca, le groupe prend aujourd’hui de plus grandes libertés avec ses lettres : relecture du répertoire brésilien, arrangements audacieux, compositions en français et en portugais…