Jusqu’au 26 juillet
2008 au théâtre du Grand Rond à Toulouse…
  
L’histoire:
Comédien quadragéaire en pleine crise d’identité, notre « héros » a décidé de
rompre avec toute vie sociale et affective. Son univers se limite désormais
à deux lieux : son petit appartement où il écrit et répète ses textes et le
théâtre où il va les interpréter. C’est son choix et il s’en explique…
devant la salle.
Après Ce lien subtil qui unit Dieu au raton laveur et Chronique d’un petit
matin brumeux (lauréat du Festival coup de chapeau 2006), Alain Régus
récidive avec bonheur dans le registre difficile de l’humour « à froid », où
la finesse d’esprit, plutôt que le bon mot, provoque le rire. On pense à
Desproges et Woody Allen quand le personnage interprété, misanthrope déclaré
et déçu définitif de
l’humanité ne trouve rien d’autre à faire que de s’en expliquer devant une
salle pleine de ses semblables. Un très court extrait pour finir : le
malheur se subit, le bonheur s’assume et il est toujours plus facile de
subir que d’assumer.

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Théâtre du Grand Rond