La disparition récente de Nicolas
Primat a profondément touché la communauté artistique de Toulouse et de Midi-Pyrénées où il avait noué de nombreuses amitiés et collaborations. Né en 1967 à Lyon, Nicolas obtient son diplôme à l’Ecole des beaux-arts de Toulouse après deux années passées à la Villa Arson à Nice. Persuadé que l’un des rôles essentiel de l’artiste "est la découverte et l’exploration de nouveaux territoires", il a posé très tôt les bases d’un projet novateur et anticipateur. C’est à partir de 1999, en partenariat avec le monde scientifique, qu’il met en place son projet de communication inter espèces avec des primates,"afin d’établir un lien entre nos origines et par extrapolation, avec des futurs possibles" (NP). Ce projet s’est traduit sous de multiples formes : performances, vidéo, peintures, sculptures et installations. Autant de contributions à la réflexion sur les rapports entre humanité et animalité, création et recherche, ou temporalité et spiritualité. Une plongée aussi au cœur des nombreux défis qui s’imposent plus que jamais à la civilisation. Ce que Nicolas précise à l’occasion de son exposition au château de Taurines En quittant ce monde à l’âge de 42 ans, Nicolas Primat transmet une œuvre Cérémonie jeudi 12 mars à 14h, église de la Daurade, Toulouse Aller Plus Loin : |
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