Des adieux en trompe-l’œil sous la forme d’un pot de départ, après 28 ans de scène… Partant du principe qu’on ne peut plus rien dire, l’humoriste fait mine de s’y résoudre pour se lâcher de plus belle : la famille, le couple, les religions, les politiques, les gilets jaunes, l’humanitaire, les réseaux sociaux, le rire, les interdits, la vie qui passe, la mort… Guillon n’oublie rien ni personne, prenant un malin plaisir à dire ce qu’il ne faut pas dire, à être où il ne faut pas être. Dans une période ô combien sensible, un spectacle revigorant, salvateur, aux vertus profondément cathartiques.