D'airs Balkaniques en sonorités Cubaines, de folklores en improvisations, d'envoutements orientaux en danses endiablées… le voyage sous toutes ses formes sera au rendez-vous cette fin de semaine au Mandala de Toulouse.
Jeudi 3 juillet : BER LER BEY TRIO Nouvel album « Mauvais Oeil »
Ce trio s’inscrit dans une tradition de musiques improvisées tant orientales qu’occidentales. Bey.Ler.Bey trio (Chef des chefs en Turc) est la rencontre entre Florian Demonsant, Wassim Halal &Laurent Clouet autour d’un même intérêt: jouer une musique improvisée qui s’inspire des codes et couleurs des musiques des Balkans. Ils savourent l’état émotionnel lié à chaque maqam (gamme orientale), insistent avec un plaisir certain sur les notes bourdonnantes frôlant ainsi avec le monde de la drone music (genre musical faisant usage de bourdons). L’univers rythmique quant à lui apparait sous des formes imprévisibles. Parfois on entend une kopanitsa (rythme en 11 temps) ou une rachenitsa (rythme en 7 temps), et plus tard encore, des rythmes minimalistes et répétitifs. Les musiciens complices cherchent à tirailler dans tous les sens un univers malléable fait de codes, de matières sonores, de surprises, de détournements.
Vendredi 4 juillet : LA GITANA TROPICAL
De part l’amour qu’Irina Gonzalez portait à la peinture La Gitana Tropical de Victor Manuel García, célèbre peintre cubain de la fin du XIXe siècle, elle décide de donner à son propre projet teinté d’atmosphères semblables, la même appellation. Elle a su s’entourer de musiciens expérimentés, Pablo Senties aux percussions et Julian Babou à la basse. A travers les diverses origines des membres du trio, chacun apporte ses différentes conceptions harmoniques et rythmiques et permet ainsi d’obtenir une combinaison idyllique. Ce trio créé en mars 2013 à Toulouse,propose un style façonné de chansons originales et improvisées, une fusion de mouvements latinos, brésiliens ainsi que de boléro, latin jazz, folklore afro-cubain. Le répertoire de La Gitana Tropical aborde des sujets tel que l’amour, les différents sentiments de la vie quotidienne et des réalités socioculturelles.
Samedi 5 juillet : COLLECTIF VRACK
Cimentée par les folklores d’Europe Centrale, la musique de Vrack, collectif musical toulousain formé depuis plus de 10 ans, mêle des influences inattendues, comme autant de clins d’œil chaleureux à des univers musicaux hétéroclites : du rock aux musiques Celtiques, en passant par le jazz ou la valse. Il en résulte une musique bariolée, subtile et dynamique, qui emporte le cœur d’un public complice et fidèle. Sur des chemins improbables, Vrack s’est promené de tournées des bars Toulousains en festivals ruraux ou urbains, de concerts militants en évènements proches ou lointains. Chaque concert de Vrack est un moment d’échange singulier entre un public et cette tribu colorée, joyeuse et fantaisiste. C’est une invitation aux voyages réels ou imaginaires, une célébration de la danse et de la joie de vivre.
Gardant la mémoire de ses routes clandestines, la musique de Vrack sonne comme un hymne à ceux qui vivent sans frontières, comme un salut fraternel à tous les oiseaux de passage…
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De part l’amour qu’Irina Gonzalez portait à la peinture La Gitana Tropical de Victor Manuel García, célèbre peintre cubain de la fin du XIXe siècle, elle décide de donner à son propre projet teinté d’atmosphères semblables, la même appellation. Elle a su s’entourer de musiciens expérimentés, Pablo Senties aux percussions et Julian Babou à la basse. A travers les diverses origines des membres du trio, chacun apporte ses différentes conceptions harmoniques et rythmiques et permet ainsi d’obtenir une combinaison idyllique. Ce trio créé en mars 2013 à Toulouse,propose un style façonné de chansons originales et improvisées, une fusion de mouvements latinos, brésiliens ainsi que de boléro, latin jazz, folklore afro-cubain. Le répertoire de La Gitana Tropical aborde des sujets tel que l’amour, les différents sentiments de la vie quotidienne et des réalités socioculturelles.
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Cette semaine au Mandala de Toulouse
Entre jazz et musiques du monde, du Mexique à l'Argentine, puis du Liban au Brésil, en se laissant guider par trois projets passionnants, trois groupes à découvrir au gré de vos envies du moment, voilà le programme de cette semaine au Mandala de Toulouse.
Jeudi 26 juin : DIANA BARONI – LA MACORINA
Imaginez cet européen débarque dans les terres du Nouveau Monde un peu malgré lui… égaré, pour une raison ou une autre dans un continent inconnu et fascinant,il se laisse porter par la curiosité vers ces terres d’abondance. Dans cet univers, son quotidien sera bouleverse et son regard, comme sa sensibilité, définitivement transformes.
LA MACORINA réunit autour d’une même passion la musique métissée sud-américaine, l’élégance virtuose de Tunde Jegede et Rafael Guel, le surprenant univers rythmique de l’Alfonso Pacin, a la voix sensuelle de Diana Baroni. Leur rencontre est une source d‘inspiration dotée d’un potentiel sonore unique, synthèse parfaite entre musique populaire et création contemporaine.Suivant les découvertes de notre voyageur imaginaire LA MACORINA se déploie a travers des chansons et rythmes métisses de tradition afro-amérindienne, évoquant paysages, mythes et personnages du Mexique, de Venezuela, d’Argentine, de Bolivie et du Pérou.
Vendredi 27 juin : JAD SALAMEH QUARTET « Lucky are the ones with voices »
« En puisant dans son héritage culturel, le pianiste Jad Salameh s’inspire de la tradition Libanaises pour créer son propre univers, tout en embrassant le côté moderne du Jazz.Son quartet est la fusion de ces deux influences, à la fois opposées et complémentaires.Sa musique est avant tout celle du voyage, d’une quête initiatique de soi. Elle est le carrefour de nombreuses influences musicales :C’est une histoire de rencontre entre la simplicité du folklore et la complexité du jazz vu à travers l’identité des quatre musiciens Vif, vivace et innovant, l’énergie qui se dégage de ce Quartet garantit de capturer vos sens et votre imagination. »
Samedi 28 juin : REGIONAL DE LA CASA DE CHORO
Une relecture des compositions et arrangements du duo Pixinguinha (sax) / Benedito Lacerda (flûte), une musique qui a révolutionné une époque et autant enchanté le public brésilien qu’européen.
Le regional est une formation ancré dans l’histoire de la musique brésilienne du 20ème siècle : Basé dans une ville ou une région, ces groupes avaient l’habitude d’accompagner les grands solistes lors des émissions de radio en direct ou des enregistrements de disques dans l’age d’or du Choro et de la Samba. Les membres du groupe se connaissaient par coeur et ont même parfois créé une propre façon de jouer ensemble, comme par exemple le regional ‘Epoca de Ouro’ qui accompagnait Jacob do Bandolim, Cartola, Zé Keti et beaucoup d’autres – une référence pour des générations de musiciens.
Composé de 6 (ou 7) musiciens professionnels et spécialistes du genre, le Regional montre toutes les richesses musicales que le Choro représente dans sa formule ‘concert’. Le répertoire puise dans différentes styles comme la Samba, le Maxixe, la Polca et la Valse à travers des arrangements écrit par le groupe. Le tempérament énergétique du Choro ne laisse aucun doute que cette musique vient directement du Brésil…
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Le regional est une formation ancré dans l’histoire de la musique brésilienne du 20ème siècle : Basé dans une ville ou une région, ces groupes avaient l’habitude d’accompagner les grands solistes lors des émissions de radio en direct ou des enregistrements de disques dans l’age d’or du Choro et de la Samba. Les membres du groupe se connaissaient par coeur et ont même parfois créé une propre façon de jouer ensemble, comme par exemple le regional ‘Epoca de Ouro’ qui accompagnait Jacob do Bandolim, Cartola, Zé Keti et beaucoup d’autres – une référence pour des générations de musiciens.
Composé de 6 (ou 7) musiciens professionnels et spécialistes du genre, le Regional montre toutes les richesses musicales que le Choro représente dans sa formule ‘concert’. Le répertoire puise dans différentes styles comme la Samba, le Maxixe, la Polca et la Valse à travers des arrangements écrit par le groupe. Le tempérament énergétique du Choro ne laisse aucun doute que cette musique vient directement du Brésil…
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Entre jazz et musiques du monde, du Mexique à l'Argentine, puis du Liban au Brésil, en se laissant guider par trois projets passionnants, trois groupes à découvrir au gré de vos envies du moment, voilà le programme de cette semaine au Mandala de Toulouse.
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LA MACORINA réunit autour d’une même passion la musique métissée sud-américaine, l’élégance virtuose de Tunde Jegede et Rafael Guel, le surprenant univers rythmique de l’Alfonso Pacin, a la voix sensuelle de Diana Baroni. Leur rencontre est une source d‘inspiration dotée d’un potentiel sonore unique, synthèse parfaite entre musique populaire et création contemporaine.Suivant les découvertes de notre voyageur imaginaire LA MACORINA se déploie a travers des chansons et rythmes métisses de tradition afro-amérindienne, évoquant paysages, mythes et personnages du Mexique, de Venezuela, d’Argentine, de Bolivie et du Pérou.
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Une relecture des compositions et arrangements du duo Pixinguinha (sax) / Benedito Lacerda (flûte), une musique qui a révolutionné une époque et autant enchanté le public brésilien qu’européen.
Le regional est une formation ancré dans l’histoire de la musique brésilienne du 20ème siècle : Basé dans une ville ou une région, ces groupes avaient l’habitude d’accompagner les grands solistes lors des émissions de radio en direct ou des enregistrements de disques dans l’age d’or du Choro et de la Samba. Les membres du groupe se connaissaient par coeur et ont même parfois créé une propre façon de jouer ensemble, comme par exemple le regional ‘Epoca de Ouro’ qui accompagnait Jacob do Bandolim, Cartola, Zé Keti et beaucoup d’autres – une référence pour des générations de musiciens.
Composé de 6 (ou 7) musiciens professionnels et spécialistes du genre, le Regional montre toutes les richesses musicales que le Choro représente dans sa formule ‘concert’. Le répertoire puise dans différentes styles comme la Samba, le Maxixe, la Polca et la Valse à travers des arrangements écrit par le groupe. Le tempérament énergétique du Choro ne laisse aucun doute que cette musique vient directement du Brésil…
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Cette semaine au Mandala de Toulouse
Cette semaine, programma chargé au Mandala de Toulouse avec notamment le mercredi 28 mai le concert de soutien à Jacky Grandjean.
Mercredi 28 mai : Concert de soutien à JACKY GRANDJEAN
Avec de nombreux musiciens en soutien au guitariste Toulousain Jacky Grandjean.
Jeudi 29 mai : GERAUD PORTAL « Fort Greene Story »
A l’occasion de mon dernier séjour à New-York , j’ai eu la grande chance de résider à Brooklyn, Fort Greene précisément, chez Mr Bill Lee, contrebassiste de légende , compositeur de musique de films dont celle de son fils Spike Lee. Sous l’oeil attentif de Bill, un groupe de Jazz naît alors, composé des musiciens qui occupent la maison. Parallèlement ces musiciens issus de la jeune génération accompagnent le légendaire trompettiste Wallace Roney. Ecrire et enregistrer avant mon départ les compositions qui naissaient grâce à cette émulation était une évidence !
L’album raconte comme un livre, mon séjour au cœur de New-York , chaque composition a été inspirée par un moment précis, une émotion, une image.
Vendredi 30 mai : LE TOURTIERS
Composé de musiciens confirmés de la scène du jazz français, Le Quintet du Tourtiers s’est réuni autour de l’idée de rendre hommage aux compositeurs de l’histoire du jazz américain des années 50 et 60. Les mots d’ordre sont engagement, complicité, esprit de groupe et surtout l’envie de proposer un répértoire singulier en allant dénicher de saisissantes pièces musicales oubliées, allant du blues minimaliste de Duke Ellington aux compositions denses et complexes de Jimmy Giuffre. Ce quintet explosif au son d’époque vous embarque pour un road movie exceptionnel au travers de contrées sonores à la fois très différentes et étrangement complémentaires…
Samedi 31 mai à 16h : Goûter-concert avec « PAPA EST FATIGUE »
Des spectacles pour les bambins en après-midi! Dans un cadre accueillant pour petits et grands, le Mandala propose chaque semestre des concerts originaux et créatifs, pour donner aux enfants le gout de la découverte, de l’imaginaire et le plaisir de la musique. Nos petits spectateurs en herbe ont des oreilles avides de toutes les musiques, donnons leur enfin ce qu’ils méritent! Avec PAPA EST FATIGUE, reprenons tous en coeur des chansons pleines de swing et de malice!
Samedi 31 mai : ENTRE DOS AGUAS
Entre dos Aguas est né en 2004, fruit de la rencontre entre Olivier Vayre et Eric De Chalup. La formation proposait au départ un flamenco plus traditionnel teinté de manouche ou de jazz. David Dutech a rejoint le groupe en 2007 et Sérena De Sousa en 2011. Progressivement, les couleurs du monde sont venues nourrir leur musique; du beatbox occidental, aux raggas indiens, du chant mongol au Métal Américain, toutes les couleurs dansent, chansons et instrumentaux se mélangent et changent le cours du temps. Par delà les frontières, quelques notes d’espoir sur champs de confusion. Des mots sur les maux, des poèmes ou des chants partisans subliment désormais leur propos; en langue Occitane, Espagnole, Catalane ou Française. Dans leur dernier spectacle «Retirada » inspiré de l’exil republicain Espagnol, ils réarrangent des textes révolutionnaires (Victor Jara, Lluis Llach…) et mélangent des compositions originales comme « Cau Pas Cara’s » (Il ne faut pas se taire), « Donem, Salvem » (Donnons, sauvons) ou « Je tombe »… Entre dos Aguas coule la scène.
Parce que rien n’est figé, que tout est à réinventer, Entre dos Aguas vous propose aujourd’hui un spectacle unique, un souffle onirique en partage, à savourer l’esprit gourmand et le cœur vaillant.
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